L'annonce du décès d'Elisabeth Djouka, une survivante nationaliste des guerres de libération, ne peut laisser personne indifférent. Engagée dans la lutte pour l'indépendance du Cameroun au sein du maquis, elle a affronté les troupes françaises dans la région de l'Ouest, subissant diverses atrocités, y compris des agressions sexuelles qui ont eu des conséquences sur sa fertilité. Son engagement envers la libération du pays a marqué toute sa vie, payant un lourd tribut à cette cause.

Surnommée "La Douce", Elisabeth Djouka est décédée ce week-end, comme le rapporte l'écrivain Arol Ketch. Son départ représente la perte d'une figure emblématique de la lutte pour l'indépendance, laissant derrière elle un héritage de détermination et de sacrifice.