Ces derniers jours, Alice Taglioni n'a pas pu profiter de son compagnon Laurent Delahousse et de ses enfants, Charlie (2009), fruit de relation avec le regretté Jocelyn Quivrin et Swann (2016) et Lino (2019), nés de ses amours avec le journaliste de France télévisions. Et ce pour une bonne raison. En effet, elle est présente au Festival de Reims - Festival international du film policier - en tant que jurée de la compétition présidé par le réalisateur Bruno Podalydès.

Là-bas, elle a fait plusieurs apparitions, toutes divines. Tout d'abord, on a pu la voir dans un ensemble composé de couleurs claires et aux accents masculins avec pantalon, veste sous laquelle elle portait un pull et une chemise. Puis, elle est apparue pour la soirée de clôture en pantalon vert, tee-shirt blanc et veste noire. Une leçon de style alliant simplicité et look androgyne.

Fan de Thrillers, Alice Taglioni a toute sa place dans ce festival. "J’ai été biberonnée au cinéma par mon papa, et il ne m’emmenait pas voir des films d’auteur français, mais des longs-métrages de Clint Eastwood, L’Arme fatale ou le Silence des agneaux. J’adorais, d’abord parce que c’était des moments que je pouvais vivre avec lui. Et puis, tout ce suspense, ces intrigues, ça me fascinait. C’est resté, sauf que depuis quelque temps, je n’arrive plus à voir ni même à entendre la violence physique à l’écran. Ça ne m’empêche pas de regarder les films, mais je me cache les yeux et je me bouche les oreilles durant ces scènes. Pour le reste, j’adore l’univers des polars, les traques, le suspense… Je ne suis pas jurée ici par hasard", explique-t-elle au Parisien.